Ce qui change au 1er novembre 2024 : taux de l’épargne, pension de retraite, SMIC, Gaz, trêve hivernale...
Taux des livrets épargne, hausse du SMIC de 2%, Prix du Gaz, pneus hiver, trêve hivernale... Ce qui change au 1er novembre 2024.
La saga du Brexit continue avec le vote des députés britanniques du report de la sortie de l’Union européenne, à deux semaines de l’échéance initiale, et un suspense qui reste entier faute d’accord avec Bruxelles.
Le fonds en euros EURO+ proposé par Swiss Life a publié une performance annualisée de + 4.10 % en 2023, sans bonus de rendement ni autre artifice marketing. Accessible via le contrat d’assurance-vie monosupport Placement-direct EURO+. Sans frais sur les versements, seulement 0.60% de frais de gestion, ce contrat EURO+ peut être considéré comme étant un des meilleurs plans épargne sans risque. Le portefeuille obligataire du fonds EURO+ affichait un rendement actuariel de 5.56% à fin 2023 !.
La même semaine, le Parlement a rejeté à la fois la proposition d’accord négociée en dernière minute par la Première ministre Theresa May après un saut à Strasbourg, mais aussi l’éventualité de sortir de l’UE sans accord. Enfin jeudi, il s’est résolu à ce que le Royaume-Uni demande de différer le divorce.
Bref, ni plan May ni "no deal", sachant que rien n’est encore définitif. Un long report entraînant la participation du Royaume-Uni aux élections européennes de mai n’est pas à exclure, tout comme une sortie brutale, sans accord, avec le surcroît de complications de tous ordres (politique, économique etc.) qu’induirait l’un comme l’autre. Le report du Brexit d’au moins trois mois après la date fatidique du 29 mars, c’est-à-dire au 30 juin au plus tard, n’est lui-même pas encore formellement acté. Encore faut-il que l’UE l’accepte, vis-à-vis d’un partenaire britannique qui veut la quitter sans parvenir à savoir comment.
La Commission européenne avait d’ailleurs rappelé jeudi soir que "toute demande de prolongation de (la période de négociations prévue par) l’article 50 nécessite l’accord unanime des 27 autres pays membres" et devrait être dûment justifiée.
Plus tôt, le président du Conseil européen Donald Tusk avait invité les 27 à être prêts à accorder "une longue prolongation" au Royaume-Uni s’il "accepte de repenser sa stratégie pour le Brexit et parvient à dégager un consensus autour de celle-ci".
Le Times soulignait vendredi que si Theresa May "ne parvient pas à faire accepter son accord, elle sera confrontée à l’indignité d’un retour à Bruxelles, forcée d’admettre que sa stratégie de Brexit a échoué et en demandant une extension sachant qu’elle n’aura pas d’atout pour en négocier le terme".
Selon la motion présentée par le gouvernement, adoptée par 413 voix contre 202, les députés "acceptent que le gouvernement cherche un accord avec l’Union européenne" pour un report de la date du Brexit. Signe des profondes divisions qui agitent la majorité, 188 Tories ont voté contre, dont sept membres du gouvernement, parmis lesquels Stephen Barclay, ministre chargé du Brexit, ou Liam Fox, ministre du Commerce international.
La motion prévoit un court report, jusqu’au 30 juin donc, si les élus britanniques approuvent l’accord de retrait de Mme May, qu’ils ont déjà retoqué à deux reprises. Mais elle a décidé de le leur soumettre encore une fois d’ici à mercredi.
Si l’accord est encore recalé, alors le report devra aller au-delà du 30 juin et impliquera que le pays participe aux prochaines élections européennes en mai, a prévenu Theresa May. Ce scénario d’un long report prolongerait l’incertitude dans laquelle est plongé le Royaume-Uni depuis qu’il a voté pour sortir de l’Union européenne en juin 2016. Il pourrait même signifier pas de Brexit du tout, a insisté la dirigeante conservatrice, qui compte bien jouer sur cette menace pour rallier à son accord les eurosceptiques de son Parti conservateur et les députés du petit parti unioniste nord-irlandais DUP, son allié au Parlement.
Mais pour le leader de l’opposition travailliste, Jeremy Corbyn, Mme May devrait accepter que son accord, qui prévoit une sortie du marché unique et de l’union douanière européenne, n’est pas "une option viable". Ce vote en faveur d’un report "est une manifestation rare et bienvenue de bon sens dans les couloirs du pouvoir", a réagi Joshua Hardie, vice-président de la principale organisation d’employeurs, la CBI. "Mais les choses doivent changer pour que cela soit plus qu’un sursis". En l’absence d’un accord de retrait approuvé par le parlement britannique, le scénario par défaut reste pour l’instant celui d’un Brexit sans accord au 29 mars, même si une majorité de députés s’est prononcée contre une telle issue mercredi.
"La situation est grave et il faut se préparer aussi à cette option que nous ne souhaitons pas", a déclaré le négociateur européen Michel Barnier jeudi soir, au Sommet des régions à Bucarest. "Je recommande qu’on ne sous-estime pas les conséquences" d’un "no-deal". Cette perspective ne serait pas pour déplaire au président américain Donald Trump, qui a plaidé par le passé pour un Brexit "dur". "Mon gouvernement est prêt à négocier un grand accord commercial avec le Royaume-Uni. Le potentiel est illimité !", a-t-il tweeté jeudi. Lors d’une rencontre avec le Premier ministre irlandais Leo Varadkar à Washington, le président américain a également décoché plusieurs flèches contre Theresa May, estimant que le Brexit "aurait pu être négocié d’une autre façon" et se disant "surpris de voir à quel point tout se passe mal".
TOP | OFFRES | DÉTAILS | EN SAVOIR + |
---|---|---|---|
🥇 1 | Carac Épargne Patrimoine (CARAC) Jusqu'à 500€ offerts (sous conditions). | 👉 EN SAVOIR PLUS | |
🥈 2 | Placement Direct Vie (SWISS LIFE ASSURANCE ET PATRIMOINE) Jusqu'à 500€ offerts pour 2.000€ versés. | 👉 EN SAVOIR PLUS | |
🥉 3 | Compte Epargne Libre Avenir Multisupport (MIF) Jusqu'à 400€ offerts pour 1.500€ versés. | 👉 EN SAVOIR PLUS | |
Les offres promotionnelles sont soumises à conditions. |
Taux des livrets épargne, hausse du SMIC de 2%, Prix du Gaz, pneus hiver, trêve hivernale... Ce qui change au 1er novembre 2024.
Air France reliera Paris-Charles de Gaulle à Orlando (Floride) à compter du 21 mai 2025.
Le Premier ministre Michel Barnier a confirmé une revalorisation du Smic de 2 % à compter du 1er novembre 2024.