Et pourquoi pas ? L’Etat va privatiser tous les aéroports régionaux, le premier à céder est celui de Toulouse. Wiseed vous propose de devenir actionnaire de l’aéroport de Toulouse, en financement participatif...
mercredi 19 novembre 2014, par Denis Lapalus
La vague du financement participatif (crowdfunding) ne se limite plus aux artistes et à la distribution de films : aujourd’hui tous les secteurs en bénéficient. Très souvent séduit par l’investissement dans l’économie réelle et par la possibilité de redevenir actionnaire au sens acteur du terme, les investisseurs particuliers trouvent dans le financement participatif le moyen de contribuer à un projet auquel il croit.
Sur quels projets ?
Le financement participatif vise essentiellement vers des startups. Mais pas seulement. La plateforme Wiseed vise en ce moment la privatisation de l’aéroport de Toulouse. Promis potentiellement à une société chinoise, l’aéroport de Toulouse peut encore être cédé pour tout ou partie à des investisseurs privés, dont vous pouvez faire partie.
La 1ère privatisation d’un aéroport est lancée. D’autres suivront…
L’aéroport de Toulouse est une bonne partition : trafic soutenu et pérenne, investissements récents financés par l’argent public, rentabilité assurée avec un risque quasi-nul. Les candidats privés l’ont bien senti !
Les offres déposées pour le rachat de la participation de l’Etat dans l’aéroport de Toulouse ne sont, elles, pas exemptes de fausses notes : typologie des repreneurs, nature des fonds, stratégie de développement peu lisible, conflits d’intérêts potentiels…
Ce serait absurde de ne pas envisager que chaque usager, chaque citoyen, chaque midi pyrénéen, chaque Français, chaque collaborateur ou encore chaque prestataire puisse détenir une part du capital de l’aéroport toulousain ! Fort de sa position de leader et de pionnier du financement participatif, WiSEED lance l’opération « Rachetons l’aéroport de Toulouse ! ».
- Déclarer son intention auprès de la plateforme
Intéressé(e) par cet investissement ? Déclarez votre intention auprès de la plateforme Wiseed.
En fonction des intentions reçues et de la puissance de la réponse, l’opération de crowdfunding avec un véhicule d’investissement participatif sera effectivement lancée sous un format maintenant bien rodé depuis 5 ans.
Le crowdfunding : quels sont les risques ?
Si l’on compare au livret A, le placement préféré des français, sans danger certes mais avec une très faible rémunération, l’investissement dans des startups peut paraître plus risqué. Ce risque n’est pas propre au crowdfunding mais au stade encore précoce de développement des startups. Il est toutefois intéressant d’instiller une petite dose de risque si l’on souhaite de la performance. Ce qui change radicalement avec le crowdfunding c’est qu’on peut choisir vraiment la destination de son épargne, avoir un contact direct avec l’entreprise, et contribuer ainsi directement au financement de l’économie réelle. La nouvelle réglementation crée un cadre et ouvre aussi de nouvelles perspectives. WiSEED propose ainsi aux particuliers un investissement possible dès 100 euros.