Yomoni Kids : une assurance-vie nouvelle génération pour la nouvelle génération
Yomoni part d’un constat simple. Les parents ouvrent le plus souvent un livret A à leur enfant, alors que ce placement, de fait, sur le long terme, est sans doute un de ceux qui rapportent le moins. Il rapporte le moins, mais il est sans risque, répondent les parents. Mais justement Yomoni s’en occupe, des risques.
mercredi 8 mars 2017, par Denis Lapalus
Le peitit monde de la FinTech ne cesse de s’agiter. Les ETF ont le vent en poupe et la gestion automatisée démontre son apport. Ce dernier est d’autant plus fort que la période de placement est longue. Si 8 ans est une durée commune pour l’Assurance-Vie, partir sur une période de 15 ans serait encore plus favorable à la gestion automatisée. Idéale donc pour l’assurance-vie destinée aux enfants. Il n’en fallait pas plus à Yomoni pour lancer sa nouvelle offre Yomoni Kids.
Yomoni en fait son cheval de bataille, de la gestion de risques à terme.
Pour les enfants nés en 1985 (voir tableau ci-dessous), si leurs parents avaient placé 1000 euros à leur naissance sur un livret A, nous constatons que les enfants auraient récupéré 2 056 euros à 18 ans. Si les mêmes parents avaient placé ces 1 000 euros sur un placement identique au CAC 40 au sein d’une assurance-vie, ils auraient récupéré 6 514 euros à leurs 18 ans.
Vous le savez, sur FranceTransactions.com, nous ne sommes pas fans des comparaisons des rendements à risque par rapport au livret A. De fait, ils sont biaisés, et surtout peuvent induire en erreur les épargnants. La comparaison de deux placements financiers n’est possible que s’ils possèdent tous les deux les mêmes caractéristiques. Or comparer les rendements sur le long terme de produits boursiers (Indice CAC40 en l’occurrence) à celui du livret A est un non-sens absolu (cf ces communications sur les diamants d’investissement largement plus rentables que le livret A à long terme, quelle supercherie !). Tous les actifs financiers à risque sur le long terme rapportent potentiellement plus que le livret A. Il suffit en effet de choisir la bonne période de comparaison pour faire apparaître une différence de rendement favorable, un peu trop facile.
Risques financiers ? Vous avez dit risques ?
Le souci est bel et bien que les rendements passés ne préjugent en rien de ceux à venir. Les parents, en ouvrant un livret A, ne souhaitent pas que l’avenir financier de leur enfant, si modeste soit-il, soit soumis aux aléas d’une crise financière, sortie de nulle part. Si le livret A garanti le capital placé, investir sur des ETF ne garantit rien du tout. Qui plus est, quand historiquement une crise boursière frappe tous les 8 à 10 ans (1990, 2000, 2008)... D’ailleurs la prochaine est prévue quand ? Bientôt un anniversaire à fêter ?
Une gestion automatisée FinTech pour anticiper les phases de crise
Plus sérieusement, et là, où la différence s’effectue principalement avec ces contrats nouvelle génération, c’est que le risque immédiat de volatilité des marchés financiers est pris en compte. L’idée est donc bien d’entrer ou de sortir du marché à temps. Ceci n’était pas possible avec les contrats ancienne génération. Il faut en effet plusieurs jours avant de faire exécuter un ordre de d’achat ou de rachat sur une unité de compte. Deux ou trois jours de délais, en cas de chute des marchés, par exemple et vous pouvez déjà avoir perdu 10% sur une UC. En cas de réelle crise, c’est déjà trop tard. Les mauvais conseils formulés seront alors de faire le dos rond et d’attendre de meilleurs jours, que la crise passe. Incroyable. Un conseiller ne sachant pas combien vous allez potentiellement perdre, vous demandant de tenir bon une position investie, est un signe qui ne trompe pas... Changez de conseiller !
Contrat nouvelle génération, automatisé, anticipatif, ou au pire très réactif
Avec les contrats basés sur les ETF, la réactivité est toute autre. La technologie permet de scruter des variables de marché auxquelles le commun des épargnants n’a pas même accès, les indices de volatilité, les volumes des positions sur les indices, les points de stop, etc. Ces éléments permettent d’anticiper l’amplitude d’un mouvement à venir, et selon le degré d’exposition aux risques du profil de l’épargnant de pondérer son exposition aux risques de marché. C’est pourquoi Yomoni, avec l’appui des profils de gestion proposés, d’être plus serein sur cette comparaison, bien hasardeuse à notre goût, avec le livret A.
YOMONI KIDS : un horizon de placement de 15 ans
“Avec un horizon de placement de plus de 15 ans, immobiliser son argent sur un placement sans risque aussi peu rémunéré que le livret A n’est clairement pas le meilleur conseil. Il faut au contraire le mettre au travail dans la durée et l’investir sur un placement diversifié en cherchant à optimiser le rendement obtenu par rapport à la prise de risque.”, explique Sébastien d’Ornano, Président de YOMONI.
YOMONI KIDS : Profils
Sans réelle surprise, le contrat Yomoni Kids est dans la vraie vie, la copie conforme du contrat Yomoni Vie. Cependant avec un ticket d’entrée élevé de 300€, cela risque de rapidement refroidir les parents. Le livret A, pour le coup, s’il fallait comparer ce paramètre, est accessible à partir de quelques euros seulement.