Confinement / Investir en bourse : portrait-robot de ces boursicoteurs d’un genre nouveau
Depuis le confinement de printemps, ils sont plus de 150.000 à s’être mis à investir en bourse. Avec ce second confinement et la forte volatilité des marchés, les opportunités d’investir devrait une nouvelle fois attirer de nombreux investisseurs en herbe. Portrait-robot de ces épargnants d’un nouveau genre.
vendredi 6 novembre 2020, par Denis Lapalus
Étudiants, employés, artisans...
Le confinement a amorcé une évolution du profil des particuliers qui investissent sur les marchés financiers. Selon l’Autorité des Marchés Financiers, non seulement les achats d’actions françaises par des particuliers ont été multipliés par 4 au mois de mars 2020 mais il s’agit, en partie, de nouveaux clients [1] : plus de 150 000 nouveaux investisseurs ont acheté des actions durant cette période !
Ismo, une application d’arrondis de vos dépenses, détaille le portait robot de ces nouveaux investisseurs qui n’ont pas froid aux yeux.
Portrait-robot des nouveaux épargnants en Bourse
- Ils sont plus jeunes : 62% des épargnants en bourse français ont moins de 35 ans et ils sont plus d’un quart à ne pas dépasser 25 ans (30%). Mais Ismo intéresse également fortement les 35-50 ans, qui représentent 30% des épargnants. Alors que l’âge médian des investisseurs particuliers historiques pour les banques de réseau est de 61 ans [2], ils ne sont que 2% à avoir plus de 60 ans parmi les clients d’Ismo.
- Ce ne sont pas que des CSP+ : aujourd’hui, la Bourse séduit les employés (34% des clients d’Ismo), les étudiants (15%), les artisans (11%), les sans- emplois (9%) et les ouvriers (5%). Les cadres ne représentent que 25% des épargnants.
- L’épargne reste l’apanage des hommes : les femmes ne représentent que 19% des épargnants en Bourse.
- Ils consentent au risque : les Français choisissent massivement le profil « dynamique » (52%) qui permet d’espérer un rendement plus élevé mais comporte un risque de capital plus important. Ils sont 36% à préférer le profil « Equilibré » et seulement 13% à opter pour le profil « Prudent ».
- Ils investissent régulièrement : en moyenne, ils investissent 11€ par semaine. 36% des sommes investies en Bourse proviennent des arrondis des dépenses quotidiennes et 16% proviennent des virements hebdomadaires effectués par les épargnants.
- Le système de « l’arrondi supérieur » privilégié : pour épargner et investir facilement et de manière indolore, les investisseurs français ont recours presque systématiquement aux arrondis des dépenses réalisées par carte bancaire (96,78% d’entre eux ont fait au moins un arrondi). L’arrondi moyen par dépense est inférieur à 1€ (0,79€).
« Grâce à son application simple d’utilisation, au système de l’arrondi investi et des virements périodiques, Ismo s’adresse à des investisseurs d’un genre nouveau. Plus jeunes, ils souhaitent investir des sommes raisonnables dans cette période de crise et d’incertitude. Sans apport initial nécessaire, Ismo permet au plus grand nombre d’investir en Bourse pour se constituer un patrimoine grâce une épargne performante. Mais Ismo intéresse également un public d’épargnants averti, sensible à la qualité de l’offre de gestion proposée et à une grille de tarif défiant toute concurrence » explique Eric Le Brusq, cofondateur d’Ismo.
À propos d’Ismo
Ismo, application mobile, offre l’opportunité d’épargner au quotidien et d’investir dans des produits d’investissement boursiers de façon simple, efficace et responsable. Propriété de Wide Asset Management, Ismo permet à tous d’investir les arrondis des dépenses courantes dans des fonds d’investissement privilégiant l’investissement socialement responsable (ISR). Wide Asset Management, agréée par l’Autorité des Marchés Financiers et membre de l’Association Française de la Gestion financière (AFG), a été co-fondée par Amélie Marchand (CMO), Philippe de Gouville (CEO), Jacques Lucas (Président), Thierry Sognard (CTO) et Eric Le Brusq (CEO) en janvier 2016. Wide Asset Management emploie aujourd’hui neuf personnes.