Vatel Capital, la plateforme spécialiste de distribution de placements obligataires via le financement participatif, propose une obligation à 8% sur 5 ans, émis pour le compte de la société obligation BIO-UV Group.
BIO-UV Group, société innovante cotée en bourse, spécialisée est dans le traitement et la désinfection de l’eau. Fondée en France en 2000, la société BIO-UV Group est reconnue comme le leader européen et le premier fabricant français dans ce domaine. Avec une présence internationale, BIO-UV Group a su étendre son expertise au-delà des frontières, offrant des solutions durables pour le traitement de l’eau dans divers secteurs, y compris les piscines et spas, l’aquaculture, les aquariums, l’eau urbaine, l’eau industrielle et l’eau de ballast des navires. Cette levée de fonds de 2M€ servira à financer les différents projets de développement de l’entreprise.
Objectif
La société BIO-UV souhaite lever des fonds pour :
Financement d’une machine de découpe laser pour 600 K€ pour permettre une réduction de l’empreinte carbone de la société et une meilleure qualification des employés,
Pose de panneaux photovoltaïques pour 200 K€ pour de l’autoconsommation,
Le solde servira à financer le programme de R&D et notamment des boxes pour l’activité REUT (réutilisation des eaux usées traitées).
Données fournies à titre indicatif uniquement. Il est rappelé que le placement en obligations est à risques de perte de capital.
L’obligation BIO-UV offre un rendement de 8,00 % et sera remboursée mensuellement (capital et intérêts) sur une durée de 60 mois. Ainsi, pour 10 000 € investis, l’investisseur percevra 202,76 € bruts/mois pendant 60 mois.
Ce placement obligataire est proposé via le financement participatif, directement par la plateforme Vatel Capital.
Résultats BIO-UV 2023
Bio UV affiche un résultat net part du groupe de 100 000 euros en 2023, contre 2,4 millions en 2024. Le spécialiste des systèmes de traitement et de désinfection de l’eau par UV a réalisé un chiffre d’affaires de 43,1 millions d’euros, en repli de 16% sur un an. L’Ebitda est également en recul à 5,5 millions d’euros contre 7 millions en 2022. À fin mars 2024, le carnet de commandes de Bio-UV s’établissait à 6,8 millions d’euros, contre 7,7 millions l’an dernier à la même époque. Le groupe s’est fixé pour objectifs "de renouer avec la croissance organique en 2024 et d’améliorer sa rentabilité. La société souligne que son free cash-flow s’est établi à un niveau record de 4,3 millions d’euros contre 0,5 million en 2022 et 0,6 million en 2021. Grâce à cette forte génération de trésorerie, elle a pu diminuer sensiblement son endettement bancaire à hauteur de 3,0 millions d’euros sur l’exercice. Bio-UV se fixe l’objectif de réaliser un free cash-flow semblable à celui de 2023 "afin de poursuivre son désendettement financier et dégager des marges de manœuvre financière pour ses prochains développements".
Note personnelle de l’auteur : BIO-UV a remboursé 3 millions d’euros de crédit bancaire en 2023, mais emprunte 2 millions d’euros auprès des particuliers investisseurs, au taux de 8%, alors que son free cash flow est en forte hausse. Cela peut poser question sur la stratégie financière appliquée.
AVERTISSEMENTS sur la souscription d'obligations ou de fonds obligataires
Souscrire à une obligation revient à prendre un risque sur le capital prêté. Le taux d'intérêt fixe annuel proposé n'est pas garanti. Les investisseurs s'exposent aux risques suivants :
Risque de crédit : Le remboursement d’une obligation va dépendre de la capacité d’une entreprise à tenir ses engagements. Le risque de crédit correspond au fait qu’une entreprise ne soit pas en capacité de rembourser tout ou partie du capital emprunté. Dans le cas d’une défaillance, le capital investi par l’épargnant pourrait être en partie ou totalement perdu.
Risque de liquidité : En cas de faibles volumes d'échange ou de tension, un marché obligataire risque de ne pas pouvoir absorber les volumes de ventes ou d'achats sans faire baisser ou monter significativement le prix des obligations. Il n'est donc pas garanti que ces obligations puissent être revendues dans des conditions favorables (risque de perte de valeur ou de difficulté pour trouver un acheteur).
Risque de taux : Les taux d’intérêt étant fluctuants à la hausse comme à la baisse, ils ont un impact sur l'attractivité des obligations. La valeur d'une obligation peut donc être négativement impactée par l'évolution de ce taux.
Risque de contrepartie : Le risque de contrepartie correspond au fait qu’une des parties prenantes d'une transaction financière ne puisse pas tenir ses engagements et soit amenée à un défaut de paiement. Il est par exemple possible d’investir dans des instruments financiers qui permettent (dans le cadre d’un contrat) de se protéger contre un éventuel défaut d’obligation, les « Credit Default Swap » ou CDS. On parle alors de risque de contrepartie dans le cas où le vendeur de cette protection ferait défaut et ne serait donc pas en mesure de respecter le contrat.
Risque de change : le risque de change se pose dans le cas de l’achat d’une obligation libellée dans une devise étrangère. La valeur de l’obligation et son rendement seront en effet indexés sur le cours de la monnaie en question. Dans le cas où la devise serait plus faible que celle de l’investisseur à la date d'échéance, la somme remboursée sera négativement impactée par le taux de change, ce qui pourra induire une perte en capital.
Risque des produits dérivés : Un fonds obligataire peut utiliser des instruments dérivés afin de réaliser ses objectifs d'investissement. Le recours aux dérivés expose le fonds à des risques différents voire plus importants que les risques liés aux investissements directs dans des titres, et peut par conséquent entraîner une perte supplémentaire, pouvant être considérablement supérieure au coût du produit dérivé lui-même.
🔍 Avis & notations
Avis des lecteurs de Guide Epargne sur OBLIGATION BIO-UV Group 8% 23/05/2028 :
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Risque de crédit : Le remboursement d’une obligation va dépendre de la capacité d’une entreprise à tenir ses engagements. Le risque de crédit correspond au fait qu’une entreprise ne soit pas en capacité de rembourser tout ou partie du capital emprunté. Dans le cas d’une défaillance, le capital investi par l’épargnant pourrait être en partie ou totalement perdu.
Risque de liquidité : En cas de faibles volumes d'échange ou de tension, un marché obligataire risque de ne pas pouvoir absorber les volumes de ventes ou d'achats sans faire baisser ou monter significativement le prix des obligations. Il n'est donc pas garanti que ces obligations puissent être revendues dans des conditions favorables (risque de perte de valeur ou de difficulté pour trouver un acheteur).
Risque de taux : Les taux d’intérêt étant fluctuants à la hausse comme à la baisse, ils ont un impact sur l'attractivité des obligations. La valeur d'une obligation peut donc être négativement impactée par l'évolution de ce taux.
Risque de contrepartie : Le risque de contrepartie correspond au fait qu’une des parties prenantes d'une transaction financière ne puisse pas tenir ses engagements et soit amenée à un défaut de paiement. Il est par exemple possible d’investir dans des instruments financiers qui permettent (dans le cadre d’un contrat) de se protéger contre un éventuel défaut d’obligation, les « Credit Default Swap » ou CDS. On parle alors de risque de contrepartie dans le cas où le vendeur de cette protection ferait défaut et ne serait donc pas en mesure de respecter le contrat.
Risque de change : le risque de change se pose dans le cas de l’achat d’une obligation libellée dans une devise étrangère. La valeur de l’obligation et son rendement seront en effet indexés sur le cours de la monnaie en question. Dans le cas où la devise serait plus faible que celle de l’investisseur à la date d'échéance, la somme remboursée sera négativement impactée par le taux de change, ce qui pourra induire une perte en capital.
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