Réforme des retraites 2023 : minimum de pension à 1.200 euros, bruts ou nets ? Ces détails qui vont décevoir le plus grand nombre
La réforme des retraites 2023 est désormais connue. Un point marquant concerne la pension mensuelle minimale de 1.200 euros promise aux retraités actuels et à venir. Mais le diable se cache dans les détails...
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24 janvier 2023, 10:47, par Marcus95
Bonjour.
Merci mémé pour votre message. Je suis en ligne sur ce que vous dites.
Je suis concerné par la réforme car je perdrai la liberté de partir à 62 ans avec une décote. Ma femme par contre, qui aurait tous ses trimestres à 63 ans devra continuer 1 an de plus.
De mon point de vue, et cela n’engage que moi, je trouve que c’est acceptable mais uniquement pour entrainer une hausse des petites retraites.
Notamment, je trouve choquant qu’un retraité qui a travaillé au smic toute sa vie (qui s’est fait exploité donc) ne touche que l’équivalent du minimum vieillesse. C’est quelque chose dont je n’avais pas conscience. Ou est la valeur travail ? Quelque chose ne tourne pas rond.
Effectivement, le gros problème pour la jeunesse c’est le prix insoutenable de l’immobilier. Et il faut bien avouer, que pour les retraités actuels, ce fardeau était moins important à leur époque. Une couple d’ouvriers pouvait se payer un logement sur 15-20 ans. Ce même logement ne peut pas être acquis par un couple de techniciens sur 25-30 ans. C’est donc difficile pour eux sur ce point d’être solidaire d’une génération qui a eut cette chance. On parle bien de déclassement.
Bonjour.
Merci mémé pour votre message. Je suis en ligne sur ce que vous dites.
Je suis concerné par la réforme car je perdrai la liberté de partir à 62 ans avec une décote. Ma femme par contre, qui aurait tous ses trimestres à 63 ans devra continuer 1 an de plus.
De mon point de vue, et cela n’engage que moi, je trouve que c’est acceptable mais uniquement pour entrainer une hausse des petites retraites.
Notamment, je trouve choquant qu’un retraité qui a travaillé au smic toute sa vie (qui s’est fait exploité donc) ne touche que l’équivalent du minimum vieillesse. C’est quelque chose dont je n’avais pas conscience. Ou est la valeur travail ? Quelque chose ne tourne pas rond.
Effectivement, le gros problème pour la jeunesse c’est le prix insoutenable de l’immobilier. Et il faut bien avouer, que pour les retraités actuels, ce fardeau était moins important à leur époque. Une couple d’ouvriers pouvait se payer un logement sur 15-20 ans. Ce même logement ne peut pas être acquis par un couple de techniciens sur 25-30 ans. C’est donc difficile pour eux sur ce point d’être solidaire d’une génération qui a eut cette chance. On parle bien de déclassement.
Bonne journée.